Guitariste auteur compositeur chanteur, Luke Wilson King propose une parfaite combinaison de Delta Blues très roots, de grooves New Orleans, de Jazz et de Rock & roll.

King a réalisé 7 albums, tourné aux USA en ouverture de Jack White, il a joué avec G. Porter Jr, John Boutté (auteur de la BO de Trémé), Little Freddy King… Il a aussi partagé la scène avec Taj Mahal, Rosanne Cash, Les Who et beaucoup d’autres.
Certains titres de Luke ont reçus plus de 7 millions de contacts sur Spotify avec jusqu’à 200 000 auditeurs mensuels !
Sa chanson Everlasting arms à fait l’objet d’une vidéo “playing for a change” avec le chant de Doctor John.

Son compère guitariste, Roberto Luti est une véritable légende internationalement reconnu pour ces nombreuses collaborations aux vidéos “playing for a change”.

Sur scène, le band distille un concentré d’énergie et un groove quasi sismique transcendé par les solos des 2 guitaristes.

Francesco Piu 18 ans de carrière déjà pour ce jeune guitariste chanteur italien qui a 8 albums derrière lui, dont un produit par Eric Bibb.  À son actif, des centaines de concerts en Italie, en Europe mais aussi au Canada et USA… et plusieurs tournées en duo avec Tommy Emmanuel, Guy Davis, Roy Rogers. Il est régulièrement à l’affiche avec des stars telles que Johnny Winter, Jimmie Vaughan, Larry Carlton, Robben Ford, Jo Bonamassa, Doyle Bramhall, Vintage Trouble, John Mayall, Derek Truck band ! Il a participé à certains des festivals les plus importants du genre (IBC Memphis, Cognac Blues Passions, Blues To Bop, Blues Sur Seine, Pistoia Blues, Narcao Blues, Magic Blues, Santa Blues de Tenerife, Blues en Bourgogne, Salaise Blues, Milano Jazzin Festival,Vache De Blues, Schtumm UK, Floss Festival Basel, pour n’en citer que quelques uns) Personnage exubérant, gorgé de feeling et plein d’humour, Francesco est un véritable showman.

Guitariste auteur compositeur chanteur, Luke Wilson King propose une parfaite combinaison de Delta Blues très roots, de grooves New Orleans, de Jazz et de Rock & roll. King a réalisé 7 albums, tourné aux USA en ouverture de Jack White, il a joué avec G. Porter Jr, John Boutté (auteur de la BO de Trémé), Little Freddy King…
Il a aussi partagé la scène avec Taj Mahal, Rosanne Cash, Les Who et beaucoup d’autres. Certains titres de Luke ont reçus plus de 7 millions de contacts sur Spotify avec jusqu’à 200 000 auditeurs mensuels !
Sa chanson Everlasting arms à fait l’objet d’une vidéo “playing for a change” avec le chant de Doctor John.

Son compère guitariste, Roberto Luti est une véritable légende internationalement reconnu pour ces nombreuses collaborations aux vidéos “playing for a change”. Sur scène, le band distille un concentré d’énergie et un groove quasi sismique transcendé par les solos des 2 guitaristes.

Lidiya Koycheva est une fille de l’art …
D’un père accordéoniste de renommée internationale et d’une mère danseuse professionnelle de danses traditionnelles Bulgares.
Diplômée du conservatoire de piano, Lidiya, dès son plus jeune âge, accompagnée par son père, a voyagé à travers toute l’Europe pour participer à de nombreux concours de piano classique … En remportant une bonne partie d’entre eux !!
Promise à un grand avenir dans la musique classique, cette virtuose est d’abord une amoureuse des traditions populaires balkaniques ce qui l’a poussée à changer d’univers musical et à créer son propre orchestre Balkanique.

Elle a partagé la scène avec Goran Bregovich, Ibrahim Maalouf, Dubioza Kolektiv,le groupe Incognito avec lequel elle a enregistré un single.
Lidiya a participé à plusieurs programmes télé et à de nombreux festivals de portée internationale comme le Womad UK de Peter Gabriel, le festival du 1er mai à Rome (devant plus de 100 000 personnes) et bien d’autres à travers le vieux continent.

Elle nous arrive d’Italie accompagnée par rien de moins que 6 musiciens !

Originaire de Cape Town, Bongi mène une correspondance insolite entre 2 continents, mêlant folk urbaine et afro pop dans un crépitement de voix et d’énergie qui ravivent les traditions musicales d’Afrique australe.

Ses chansons en Xhosa, son idiome natal et langue de Nelson Mandela, claquent sous le palais et tracent un arc musical panafricain à la fois magnétique et ensorcelant. Le métissage fertile des cultures en exil. Dans les incantations ou dans les chuchotements, Bongi sait donner du souffle à la musique de ses racines sud-africaines.

Lidiya Koycheva est une fille de l’art …
D’un père accordéoniste de renommée internationale et d’une mère danseuse professionnelle de danses traditionnelles Bulgares.
Diplômée du conservatoire de piano, Lidiya, dès son plus jeune âge, accompagnée par son père, a voyagé à travers toute l’Europe pour participer à de nombreux concours de piano classique … En remportant une bonne partie d’entre eux !!
Promise à un grand avenir dans la musique classique, cette virtuose est d’abord une amoureuse des traditions populaires balkaniques ce qui l’a poussée à changer d’univers musical et à créer son propre orchestre Balkanique.
Elle a partagé la scène avec Goran Bregovich, Ibrahim Maalouf, Dubioza Kolektiv,le groupe Incognito avec lequel elle a enregistré un single. Lidiya a participé à plusieurs programmes télé et à de nombreux festivals de portée internationale comme le Womad UK de Peter Gabriel, le festival du 1er mai à Rome (devant plus de 100 000 personnes) et bien d’autres à travers le vieux continent.
Elle nous arrive d’Italie accompagnée par rien de moins que 6 musiciens !

Dès la fin des années 90, Louis Winsberg songeait à mélanger jazz et musiques traditionnelles, et plus particulièrement, vu son parcours, Jazz et Flamenco. En 2000 sort le premier album JALEO, suivi en 2005 du BAL DES SUDS.

Pendant plus de vingt-cinq ans, la formation va tourner dans les festivals et théâtres, sur 4 continents.
L’espace de liberté est toujours aussi vaste, du jazz à l’Inde en passant par l’Andalousie et le Maghreb.
Une musique mûrie au soleil, bercée par la mer, gorgé des battements, trépidations, éclats de joie et fulgurances mélodiques. Une aventure musicale et humaine des plus abouties.

« Je dédie la musique de ce projet à Paco de Lucia, lui qui a su ouvrir le monde du Flamenco au jazz et à l’improvisation… et mener son art à un niveau de pureté et de puissance très rare. Durant toute ces années sa lumière a éclairé ma quête d’un jazz méditerranéen. » Louis WINSBERG 

Moustik Haterz fait partie de cette nouvelle génération de musiciennes et musiciens, jouant avec les codes du jazz pour allier musiques traditionnelles et actuelles.
Puisant leurs inspirations dans des rythmiques balkaniques, orientales, afro et hip hop, ils y attachent des basses solides, une harmonie en patchwork et des mélodies tantôt gracieuses tantôt explosives.
L’improvisation, au centre de leur tumulte créatif, laisse place à des échanges spontanés entre les cinq membres du quintet.

Les Moustik Haterz sont issus de la riche scène musicale Grenobloise. C’est un groupe de reprises et compositions de jazz hybride, s’inspirant de l’afro, du hip-hop ou de la musique des Balkans. C’est une bande de musiciennes et musiciens réunis par l’amour du rythme, du mélange et de l’improvisation.

Dès la fin des années 90, Louis Winsberg songeait à mélanger jazz et musiques traditionnelles, et plus particulièrement, vu son parcours, Jazz et Flamenco.
En 2000 sort le premier album JALEO, suivi en 2005 du BAL DES SUDS.
Pendant plus de vingt-cinq ans, la formation va tourner dans les festivals et théâtres, sur 4 continents.
L’espace de liberté est toujours aussi vaste, du jazz à l’Inde en passant par l’Andalousie et le Maghreb. Une musique mûrie au soleil, bercé par la mer, gorgé des battements, trépidations, éclats de joie et fulgurances mélodiques. Une aventure musicale et humaine des plus abouties.
« Je dédie la musique de ce projet à Paco de Lucia, lui qui a su ouvrir le monde du Flamenco au jazz et à l’improvisation… et mener son art à un niveau de pureté et de puissance très rare. Durant toute ces années sa lumière a éclairé ma quête d’un jazz méditerranéen. » Louis WINSBERG